Let There Be Shum

Son premier choc esthétique sera un sextuor de Brahms à l’âge de neuf ans. A ses quinze ans, il tombe de sa chaise en découvrant le cinéma de Clouzot, Fellini et Fassbinder. Arrivé en France pour faire ses humanités au Lycée Louis-le-Grand, il jongle entre diverses activités de pianiste, journaliste et producteur radio, avant de se consacrer avec plus d’ardeur que jamais à la réalisation. Avec l’appui de la société Arpeggio Films, il produit et réalise des clips pour de nombreuses stars du classique, tout en s’ouvrant progressivement au monde de la danse, de la fiction et de la publicité. Il défend mordicus l’idée que ce répertoire peut lui aussi prétendre au clip scénarisé, explorant au fil des années une pluralité d’approches.
Julien puise son inspiration dans les sons et couleurs obsédantes des métropoles asiatiques de son enfance et adolescence, comme dans la littérature sud-américaine qu’il affectionne. Au fil de son parcours, Julien a collaboré avec de nombreux producteurs et diffuseurs : France Télévisions, Culturebox, Medici, Idéale Audience, Bel Air Media, Blue Paris, Carburant. Plusieurs de ses réalisations destinées au web font l’objet d’un accueil très favorable, totalisant plusieurs millions de vues sur les réseaux sociaux et Youtube.

Notes biographiques fournies par l’équipe du film

Quelques films :
Pagamania ! (2023)
Sinfoniae (2023)
Barcarolle (2022)
Sous le ciel de Paris (2021)
Cello 360 (2020)