The GraveSleepers
Naghmeh Sharifi
Bande-annonce
Disponible sur ARTS.FILM à partir du 3 mai 2024
Basé sur des faits réels, ce court-métrage d’animation d’une grande poésie illustre les événements qui ont amené un groupe d’itinérants à habiter dans des rangées de tombes vides dans un cimetière de la banlieue de Téhéran en Iran. Interrogeant la nature fragile et éphémère de notre existence, The GraveSleepers explore les thèmes de la mortalité et de la condition humaine.
Basé sur des faits réels, ce court-métrage d’animation d’une grande poésie illustre les événements qui ont amené un groupe d’itinérants à habiter dans des rangées de tombes vides dans un cimetière de la banlieue de Téhéran en Iran. Interrogeant la nature fragile et éphémère de notre existence, The GraveSleepers explore les thèmes de la mortalité et de la condition humaine.
| Réalisation | Naghmeh Sharifi |
| Son | Nick Lavigne |
| Animation | Naghmeh Sharifi |
| Musique | Nick Lavigne |
Présent sur ces collections
Réalisation
Naghmeh Sharifi
Artiste multidisciplinaire irano-canadienne, Naghmeh Sharifi vit et travaille à Montréal. Sa pratique englobe la peinture, le dessin, les installations sculpturales, l’animation et le nouveau média. Sharifi détient un baccalauréat en arts visuels et un en psychologie de l’Université de la Colombie-Britannique. En 2018, elle a complété sa maîtrise en beaux-arts à l’Université Concordia.
Depuis 2008, son travail a été exposé en Iran, en Allemagne, en France, au Mexique, aux États-Unis, au Canada et en Macédoine. À Montréal, elle a notamment présenté son travail aux Conseils des arts de Montréal (2015), à la Galerie d’art Leonard & Bina Ellen (2017), au MAI (2018) et au Centre Phi (2020). Sharifi a terminé la résidence Empreinte du Musée des beaux-arts de Montréal en 2015 et la résidence Lignes parallèles du Phi Centre en 2020.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Depuis 2008, son travail a été exposé en Iran, en Allemagne, en France, au Mexique, aux États-Unis, au Canada et en Macédoine. À Montréal, elle a notamment présenté son travail aux Conseils des arts de Montréal (2015), à la Galerie d’art Leonard & Bina Ellen (2017), au MAI (2018) et au Centre Phi (2020). Sharifi a terminé la résidence Empreinte du Musée des beaux-arts de Montréal en 2015 et la résidence Lignes parallèles du Phi Centre en 2020.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
