À la recherche d’une des voix les plus étonnantes des années 1960, la réalisatrice Emmanuelle Antille part sur les traces de Karen Dalton, chanteuse de folk blues. Avec son timbre mélancolique et sa guitare magnétique, la chanteuse et musicienne qui fut vénérée par ses pairs, demeure pratiquement inconnue du grand public. En tentant de replacer les pièces du casse-tête de sa vie, Antille nous fait rencontrer une femme à la fois fragile et combattante, dont l’existence est poignante.
Aussi présenté :
38e Festival International du Film sur l’Art, Canada (2020)
38e Festival International du Film sur l’Art, Canada (2020)
Réalisation | Emmanuelle Antille |
Image | Carmen Jaquier |
Présent sur ces collections
Réalisation
Emmanuelle Antille
Née en 1972 à Lausanne, Emmanuelle Antille a étudié à l’ESAV à Genève et à la Rijksakademie à Amsterdam. Depuis 1995, elle développe sa pratique artistique tant comme artiste vidéaste que réalisatrice.
Emmanuelle Antille a reçu de nombreux prix et reconnaissances : trois Swiss Art Awards, le Prix Kiefer-Hablitzel, le Review film contest Migros Culture, la Résidence Suisse à Berlin et au Couvent des Recollets à Paris, le Prix Découverte au Festival de Namur, entre autres.
Son travail a été présenté notamment au Kunstverein de Frankfurt, au Renaissance Society à Chicago, à la National Gallery à Reykjavik, au CCA à Glasgow, au Toyko Wonder Site à Tokyo, au De Appel à Amsterdam, au Migros Museum à Zürich, à Art Unlimited à Bâle, au Jeu de Paume et au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Ses films ont été sélectionnés dans de nombreux festivals.
En 2003 Emmanuelle Antille a représenté la Suisse à la 50ème Biennale de Venise dans le pavillon national. En 2012, elle réalise son deuxième long-métrage, intitulé AVANTI avec Hanna Schygulla et Miou-Miou.
A Bright Light – Karen and the Process est son premier long-métrage documentaire.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
Emmanuelle Antille a reçu de nombreux prix et reconnaissances : trois Swiss Art Awards, le Prix Kiefer-Hablitzel, le Review film contest Migros Culture, la Résidence Suisse à Berlin et au Couvent des Recollets à Paris, le Prix Découverte au Festival de Namur, entre autres.
Son travail a été présenté notamment au Kunstverein de Frankfurt, au Renaissance Society à Chicago, à la National Gallery à Reykjavik, au CCA à Glasgow, au Toyko Wonder Site à Tokyo, au De Appel à Amsterdam, au Migros Museum à Zürich, à Art Unlimited à Bâle, au Jeu de Paume et au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Ses films ont été sélectionnés dans de nombreux festivals.
En 2003 Emmanuelle Antille a représenté la Suisse à la 50ème Biennale de Venise dans le pavillon national. En 2012, elle réalise son deuxième long-métrage, intitulé AVANTI avec Hanna Schygulla et Miou-Miou.
A Bright Light – Karen and the Process est son premier long-métrage documentaire.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.