Bande-annonce
Ce portrait explore tous les talents du maestro Klaus Mäkelä, dévoilant le visage d’un virtuose dont on pressent déjà qu’il va marquer le 21e siècle, alors que sa carrière ne fait que commencer… Bien plus qu’un simple sujet d’étude, Mäkelä joue un rôle actif dans ce documentaire, se prêtant au jeu de l’entretien et nous livrant au passage un aperçu inestimable de sa vision de la musique.
Mot de réalisation
Un personnage ouvert et lumineux. Élégant, frugal, et dépourvu de vanité. Mais sa fougue, son extrême professionnalisme, son efficacité et son abandon à la musique font qu’il entraîne tout sur son passage : les partition qu’il joue, les orchestres qu’il dirige et le public qu’il envoûte.
Je me suis efforcé de réaliser le portrait en profondeur d’un grand chef d’orchestre, miraculeusement jeune et aimant la musique avec toute la fraîcheur de sa jeunesse.
Il a pris les rênes de l’Orchestre Philharmonique d’Oslo à 22 ans, est le directeur musical de l’Orchestre de Paris depuis maintenant 4 ans (il a aujourd’hui 28 ans!), tandis qu’il est aussi le partenaire constant de l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam. (Nous l’avons suivi dans ces trois villes) ; Berlin, Chicago, Vienne se l’arrachent. Les jeunes se précipitent à ses concerts (nous l’avons accompagné dans sa fulgurante ascension, depuis son plus jeune âge).
Vers la flamme est le titre du film. Il aurait aussi bien pu s’appeler Trois orchestres et un avènement !
Klaus Mäkelä ne serait-il pas tout simplement le plus grand chef d’orchestre du XXè siècle ?
- Bruno Monsaingeon
Mot de réalisation
Un personnage ouvert et lumineux. Élégant, frugal, et dépourvu de vanité. Mais sa fougue, son extrême professionnalisme, son efficacité et son abandon à la musique font qu’il entraîne tout sur son passage : les partition qu’il joue, les orchestres qu’il dirige et le public qu’il envoûte.
Je me suis efforcé de réaliser le portrait en profondeur d’un grand chef d’orchestre, miraculeusement jeune et aimant la musique avec toute la fraîcheur de sa jeunesse.
Il a pris les rênes de l’Orchestre Philharmonique d’Oslo à 22 ans, est le directeur musical de l’Orchestre de Paris depuis maintenant 4 ans (il a aujourd’hui 28 ans!), tandis qu’il est aussi le partenaire constant de l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam. (Nous l’avons suivi dans ces trois villes) ; Berlin, Chicago, Vienne se l’arrachent. Les jeunes se précipitent à ses concerts (nous l’avons accompagné dans sa fulgurante ascension, depuis son plus jeune âge).
Vers la flamme est le titre du film. Il aurait aussi bien pu s’appeler Trois orchestres et un avènement !
Klaus Mäkelä ne serait-il pas tout simplement le plus grand chef d’orchestre du XXè siècle ?
- Bruno Monsaingeon
Autre festival :
Journées Internationales du Film sur l’Art, France (2024)
Journées Internationales du Film sur l’Art, France (2024)
| Réalisation | Bruno Monsaingeon |
| Direction de la photographie | Roland Clède, Hadrien Perrot |
| Montage | Svetlana Vaynblat |
| Colorisation | Alexandra Pocquet |
| Conception sonore | Timothée Alazraki, Dorian Seyller |
En partenariat avec
Séances
• Cinéma du Musée - Auditorium Maxwell-Cummings
Vendredi 22 mars 2024, 18:15 — 19:30
• Musée national des beaux-arts du Québec - Auditorium Sandra et Alain Bouchard du Pavillon Pierre Lassonde
Dimanche 24 mars 2024, 13:30 — 14:45
Réalisation
Bruno Monsaingeon
Depuis plus de quarante ans, Bruno Monsaingeon, violoniste, écrivain et réalisateur demeurant à Paris, consacre une grande partie de son temps à la réalisation de films musicaux. Il a réalisé des films sur les musiciens majeurs de notre époque (Yehudi Menuhin, Glenn Gould, Sviatoslav Richter, David Oistrakh, Dietrich Fischer-Dieskau) qui lui ont valu une audience internationale. Il a également porté son regard, dès leurs débuts, sur de jeunes artistes talentueux parmi lesquels Piotr Anderszewski (“Piotr Anderszewski, Voyageur intranquille”), Valeriy Sokolov (“Valery Sokolov, un violon dans l’âme), David Fray (“David Fray, Swing, Sing and Think) et, pour son centièrme film, sur le chef d’orchestre Klaus Mäkelä (« Klaus Mäkelä – Vers la flamme »). Il a par ailleurs réalisé des films portant sur la vie musicale en Russie Soviétique, “l’Art de violon”, ou les quatuors à cordes (avec le Quatuor Alban Berg Quartet, le Quatuor Artemis et tout récemment sur le Quatuor Arod. Parmi ses productions les plus marquantes, on retient ses portraits d’interprètes légendaires tels que “Yehudi Menuhin, Le violon du siècle”, “Richter, l’insoumis”, “David Oïstrakh, Artiste du Peuple”, “Dietrich Fischer-Dieskau, La voix de l’âme”, “Guennadi Rojdestvensky, Profession Chef d’Orchestre” et “Notes interdites, scènes de la vie musicale en Russie Soviétique”, “Julia Varady – le Chant Possédé”, “Glenn Gould, Au-delà du temps“, “Grigori Sokolov au Théâtre des Champs-Elysées”… Tous ses films ont gagné de prestigieuses récompenses dans les Festivals internationaux.
Bruno Monsaingeon est aussi l’auteur de nombreux livres dont le dernier en date “Filmer la musique – Entretiens avec Guillaume Monsaingeon” a paru en 2023 aux Éditions Philharmonie de Paris, 2023.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Bruno Monsaingeon est aussi l’auteur de nombreux livres dont le dernier en date “Filmer la musique – Entretiens avec Guillaume Monsaingeon” a paru en 2023 aux Éditions Philharmonie de Paris, 2023.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Quelques films :
Opus 73. Glenn Gould, au-delà du temps (2006)
Opus 44. Roméo et Juliette (1991)
Opus 47. Récital Schumann (1991)
Opus 41. Trio de Tchaïkovski (1989)
Opus 25. Concerto pour violon de Brahms (1982)
Opus 73. Glenn Gould, au-delà du temps (2006)
Opus 44. Roméo et Juliette (1991)
Opus 47. Récital Schumann (1991)
Opus 41. Trio de Tchaïkovski (1989)
Opus 25. Concerto pour violon de Brahms (1982)
