Prix tremplin pour le monde ARTV, FIFA 2011
Soldat volontaire en 1914 ; témoin de la montée Nazie en 1933, le peintre, et graveur allemand Otto Dix dénonce l’horreur. L’art est pour lui une arme. Avec une lucidité décapante, ce grand maître bouleverse et choque. Celui qui disait : “Il me faut le courage de peindre le laid”, laisse une œuvre aussi troublante qu’humaine et pause un regard sur le chaos qui l’entoure, qui n’est pas sans résonance avec l’Amérique d’aujourd’hui.
Soldat volontaire en 1914 ; témoin de la montée Nazie en 1933, le peintre, et graveur allemand Otto Dix dénonce l’horreur. L’art est pour lui une arme. Avec une lucidité décapante, ce grand maître bouleverse et choque. Celui qui disait : “Il me faut le courage de peindre le laid”, laisse une œuvre aussi troublante qu’humaine et pause un regard sur le chaos qui l’entoure, qui n’est pas sans résonance avec l’Amérique d’aujourd’hui.
Réalisation | Jennifer Alleyn |
Production | Luc Châtelain |
Réalisation
Jennifer Alleyn
Née en Suisse, Jennifer Alleyn est une artiste et cinéaste basée à Montréal. Elle a obtenu un diplôme en production cinématographique à l’Université Concordia en 1991. Elle a parcouru le monde en globe-trotter pour l’émission La course destination monde en 1992 pour tourner 26 documentaires en 26 semaines sur 5 continents différents, seule.
Au cours des dix dernières années, elle a réalisé et produit des films indépendants, passant de la fiction au documentaire, au cinéma d’art et à la télévision. En 2005, elle réalise 13 épisodes de Canadian Case Files (Groupe Fair Play) et un court métrage, Svanok, gagnant de la meilleure fiction à New York FF.
En 1997, elle réalise Aurore et Crépuscule dans le long métrage collectif Cosmos, primé à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes. Suivra, une trilogie de films sur l’art, (L’atelier de mon père, Dix fois Dix et La vie Imaginée de Jacques Monory) lauréats au Festival International du film sur l’art (FIFA), qui confirme son approche d’archéologue de l’art. En 2018, elle invite le réel à bousculer la fiction, avec le long métrage Impetus. Film hybride qu’elle réalise et produit, Impetus est lancé en Italie avant de participer en compétition au Festival Slamdance, aux USA. Sorti sur les écrans en janvier 2019, le film rallie la critique et le public, qui saluent la liberté formelle et le jeu extraordinaire de Pascale Bussières et Emmanuel Schwartz. L’Observatoire du cinéma au Québec (OCQ), en collaboration avec la Faculté des arts et sciences de l’Université de Montréal, décerne à Jennifer le prix Création 2019, pour “sa contribution exceptionnelle au développement de la cinématographie québécoise”.
Alleyn développe depuis 2011, une pratique plastique qui intègre la vidéo, l’installation et la photographie. Les thèmes de l’absence et de la perte font écho dans son travail à un idéal de solidarité humaine. Son plus cher désir, une installation en collaboration avec l’écrivaine Nancy Huston a été présentée au Musée des beaux-arts de Montréal en 2011. Ses oeuvres récentes ont été présentées à la Galerie C de Neuchâtel en Suisse et au Québec.
En 2021, s’amorce un cycle de travail sur le déracinement et la migration, dont les premiers fruits seront présentés lors du Symposium d’art contemporain de Baie-St-Paul, dont Jennifer est l’une des douze artistes participant.e.s.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
Au cours des dix dernières années, elle a réalisé et produit des films indépendants, passant de la fiction au documentaire, au cinéma d’art et à la télévision. En 2005, elle réalise 13 épisodes de Canadian Case Files (Groupe Fair Play) et un court métrage, Svanok, gagnant de la meilleure fiction à New York FF.
En 1997, elle réalise Aurore et Crépuscule dans le long métrage collectif Cosmos, primé à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes. Suivra, une trilogie de films sur l’art, (L’atelier de mon père, Dix fois Dix et La vie Imaginée de Jacques Monory) lauréats au Festival International du film sur l’art (FIFA), qui confirme son approche d’archéologue de l’art. En 2018, elle invite le réel à bousculer la fiction, avec le long métrage Impetus. Film hybride qu’elle réalise et produit, Impetus est lancé en Italie avant de participer en compétition au Festival Slamdance, aux USA. Sorti sur les écrans en janvier 2019, le film rallie la critique et le public, qui saluent la liberté formelle et le jeu extraordinaire de Pascale Bussières et Emmanuel Schwartz. L’Observatoire du cinéma au Québec (OCQ), en collaboration avec la Faculté des arts et sciences de l’Université de Montréal, décerne à Jennifer le prix Création 2019, pour “sa contribution exceptionnelle au développement de la cinématographie québécoise”.
Alleyn développe depuis 2011, une pratique plastique qui intègre la vidéo, l’installation et la photographie. Les thèmes de l’absence et de la perte font écho dans son travail à un idéal de solidarité humaine. Son plus cher désir, une installation en collaboration avec l’écrivaine Nancy Huston a été présentée au Musée des beaux-arts de Montréal en 2011. Ses oeuvres récentes ont été présentées à la Galerie C de Neuchâtel en Suisse et au Québec.
En 2021, s’amorce un cycle de travail sur le déracinement et la migration, dont les premiers fruits seront présentés lors du Symposium d’art contemporain de Baie-St-Paul, dont Jennifer est l’une des douze artistes participant.e.s.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
La sieste (2020); Le réveil (2020); Impetus (2018); Respondere (2016);
La terre nous est étroite (2013); A few lost words (2012) Dix fois Dix (2011); L’atelier de mon père (2008); La vie imaginée de Jacques Monory (2006); Svanok (2005); Les Rossy (2002); Imaginer le rien (2001); Le regard de Delphine (2000); Cosmos (1996); Les enfants de Shefferville (1996); Petit conte moderne sur l’amour antique (1993)
La terre nous est étroite (2013); A few lost words (2012) Dix fois Dix (2011); L’atelier de mon père (2008); La vie imaginée de Jacques Monory (2006); Svanok (2005); Les Rossy (2002); Imaginer le rien (2001); Le regard de Delphine (2000); Cosmos (1996); Les enfants de Shefferville (1996); Petit conte moderne sur l’amour antique (1993)