L’Iran, un pays qui fascine. Dans cette République islamique, tiraillée entre tradition et modernité, une jeune scène photographique, créative et audacieuse s’engage à donner au monde une autre image de son pays. Ce film, réalisé en duo par Nathalie Masduraud et Valérie Urréa, suit l’histoire de cinq photographes, dont quatre femmes, de la prise de vue au vernissage, de Téhéran au lac Ourmia. Un récit qui met les femmes à l’avant-plan et qui témoigne de l’Iran d’aujourd’hui.
Réalisation | Nathalie Masduraud, Valérie Urréa |
Auteur | Nathalie Masduraud, Valérie Urréa |
Montage | Muriel Breton |
Son | Shahin Poor Dadashi |
Image | Philippe Guilbert |
Présent sur ces collections
Réalisation
Valérie Urréa
Valérie Urréa affirme dès les années 1990 son engouement pour les arts visuels et le spectacle vivant. Documentaires, films Web, captations ou fictions, ses films interrogent des sujets aussi sensibles que l’autisme, la masculinité ou les questions de genre et de race. Plusieurs fois récompensé, son travail est régulièrement présenté dans des festivals internationaux.
Iran#NoFilter (2017) ; À mon père (2016) ; Heroes (2016) ; Clin d’œil (2016) ; Afrique du Sud, portraits chromatiques (2014) ; Mouvements d’orchestre (2012) ; L’homme qui danse (2006) ; Hors les murs (2002).
Nathalie Masduraud
Nathalie Masduraud choisit la réalisation documentaire comme discipline et se tourne plus spécialement vers des films de société et des portraits d’artistes. Son intérêt pour l’histoire et le traitement des archives l’a conduite à travailler sur plusieurs sujets traitant de la seconde guerre mondiale et ce, avec des axes aussi particuliers que la délation ou la propagande sous l’Occupation. Ce travail la passionne jusqu’à l’écriture d’une série sur les conditions de vie des populations noires dans les colonies de l’Afrique occidentale et équatoriale française.
Iran#NoFilter (2017) ; Afrique du Sud, portraits chromatiques (2014) ; Chromatic Society (2014) ; La danse au cinéma (2007) ; Françoise Sagan, une vie de tous les dangers (2004) ; La critique de cinéma sous l’Occupation (2003) ; Chroniques coloniales (2001) ; Ella Fitzgerald, une grande dame du jazz (1999).