Après dix ans de guerre dans son pays d’origine, la réalisatrice syrienne Houda Kassatly revient sur les pas de sa famille à Alep. Entre quartiers épargnés et maisons béantes, elle nous fait découvrir les frises, les rosaces et les frontons de portes en dentelle de pierre qui témoignent du raffinement du passé. Apaisée par l’intérieur sauvegardé du plus vieil hôpital du monde, le Bimaristan Arghoun, la cinéaste s’inquiète toutefois du futur visage d’Alep, alors que la vie reprend dans la ville.
Aussi présenté :
41e Festival International du Film sur l’Art, Canada (2023)
Festival international Jean Rouch, France (2022)
Festival Traces de Vie, France (2021)
Beirut Art Film Festival, Liban (2022)
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| Réalisation | Houda Kassatly |
| Auteur | Houda Kassatly |
| Montage | Michele Tyan |
| Voix | Habache Hala |
| Son | Michele Tyan |
| Mixage | Younan Raed |
| Traduction | Habache Iskandar |
Réalisation
Houda Kassatly
Houda Kassatly est ethnologue et photographe, responsable du programme culture de l’association arcenciel et chercheuse associée à l’Université Saint Joseph de Beyrouth et à l’Université de Balamand, au Liban. Elle a fondé la maison d’édition Al Ayn, spécialisée dans le patrimoine culturel et architectural du Liban et du Moyen-Orient. Auteure de nombreux ouvrages, dont plusieurs sur Beyrouth et sur l’architecture en terre au Liban et en Syrie, ses photographies ont fait l’objet de nombreuses expositions au Liban et à l’étranger.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
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