La photographe et cinéaste Alice Khol propose une incursion dans l’univers de l’artiste plasticienne française Juliette Feck, qui vit et travaille à Marseille. La jeune femme crève l’écran dans des scènes tournées sur le vif ou composées avec soin et mettant en relief les hauts et les bas de sa vie d’artiste. Posant ou se livrant sans filtre devant la caméra, Feck nous emporte dans le flot de ses émotions et de ses réflexions : tantôt vulnérable, en proie au doute, tantôt exaltée par la joie de créer et d’exposer ses œuvres. D’espoirs en désillusions, de galères en fantasmes, elle apparaît déterminée à poursuivre sa démarche. Portrait intime, entre mythe et réalité, d’une artiste émergente en questionnement sur ce qu’est l’art et être artiste.
Aussi présenté :
39e Festival International du Film sur l’Art, Canada (2021)
39e Festival International du Film sur l’Art, Canada (2021)
| Réalisation | Alice Khol |
| Image | Alice Khol |
Image tirée du film Juliette the Great // Image from the film Juliette the Great
Affiche du film // Film’s Poster
Réalisation
Alice Khol
Après un Master en communication et une licence en Cinéma à l’Université de Rennes II, en France, Alice Khol s’installe à Bruxelles où elle suit les cours à l’école de photographie « Agnès Varda » dont elle sort diplômée en 2012. En parallèlement, elle travaille pour plusieurs festivals de cinéma en Belgique dont elle gère la coordination et la programmation.
En 2015, son premier court métrage documentaire Cure, autour de sa soeur infirmière à domicile, connaît un beau parcours dans les festivals. Elle réalise également une série de vidéo-portraits de poètes belges et une douzaine de clips musicaux. Début 2020, elle publie 365 degrés (d’amour), un livre qui associe photographie et histoires d’amour collectées. Juliette The Great est son deuxième court métrage documentaire.
Aiguisant constamment son regard, naviguant entre la vidéo et la photographie, Alice Khol s’intéresse aux notions d’intimité et de portrait. Elle observe la poésie des petits événements quotidiens où la réalité se transforme en fiction.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
En 2015, son premier court métrage documentaire Cure, autour de sa soeur infirmière à domicile, connaît un beau parcours dans les festivals. Elle réalise également une série de vidéo-portraits de poètes belges et une douzaine de clips musicaux. Début 2020, elle publie 365 degrés (d’amour), un livre qui associe photographie et histoires d’amour collectées. Juliette The Great est son deuxième court métrage documentaire.
Aiguisant constamment son regard, naviguant entre la vidéo et la photographie, Alice Khol s’intéresse aux notions d’intimité et de portrait. Elle observe la poésie des petits événements quotidiens où la réalité se transforme en fiction.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
Juliette The Great (2021) ; Cure (2015).
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