À l’été 2020, la chorégraphe Danièle Desnoyers s’éprend d’une parcelle de forêt nichée le long du fleuve Saint-Laurent. Lieu d’une étrange beauté où la nature reprend ses droits sur les vestiges d’un ancien chantier maritime situé sur l’Île d’Orléans au Parc Maritime de Saint-Laurent, La forêt des lisses devient l’écrin d’une première création conçue à partir de scénographies-paysages. Danièle Desnoyers conçoit un geste poétique, réalisé par Marjorie de Chantal, et interprété par Myriam Arsenault et Nicolas Patry sur une musique de Ben Shemie.
Réalisation | Marjorie De Chantal |
Montage | Marjorie De Chantal |
Caméra | Marjorie De Chantal |
Chorégraphie | Danièle Desnoyers |
Interprètes | Myriam Arseneault, Nicolas Patry |
Conception | Danièle Desnoyers |
Costumes | Angelo Barsetti |
Musique | Ben Shemie |
Présent sur ces collections
Réalisation
Marjorie De Chantal
Artiste multidisciplinaire, photographe, vidéaste, Marjorie de Chantal est fascinée par les interstices entre l’intime, le silence, la malléabilité du temps et l’empreinte. Dans une approche souvent intimiste et charnelle, des fragments d’histoires et de lieux s’entrecroisent. Ces lieux sont des refuges composés de multiples espaces empreints de mémoire, influencés par le passage.
Son travail gravite autour du rapport organique entre le son et l’image et se distingue par un regard sensible braqué le plus souvent sur l’inconscient. Ces œuvres mettent continuellement en relation deux temporalités occupant le même espace ; l’une se construisant autour d’évènements présents et l’autre manipulant les éléments du passé.
Dans une optique où l’intention se mêle à l’accident, sa pratique synergique questionne et embrouille les perceptions. Puis, dans un univers de textures évoquant une certaine sensualité, le sujet s’articule et se fige dans un silence chargé de mémoire et d’attente.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
Son travail gravite autour du rapport organique entre le son et l’image et se distingue par un regard sensible braqué le plus souvent sur l’inconscient. Ces œuvres mettent continuellement en relation deux temporalités occupant le même espace ; l’une se construisant autour d’évènements présents et l’autre manipulant les éléments du passé.
Dans une optique où l’intention se mêle à l’accident, sa pratique synergique questionne et embrouille les perceptions. Puis, dans un univers de textures évoquant une certaine sensualité, le sujet s’articule et se fige dans un silence chargé de mémoire et d’attente.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.