Bande-annonce
Immersion dans l’intimité de l’écrivain français Marcel Proust, à travers la voix de la gouvernante qui l’a accompagné durant les huit dernières années de sa vie. Entre extraits sonores, archives et reconstitutions silencieuses de scènes, la réalisatrice offre un aperçu unique de la personnalité du célèbre écrivain et de la fastidieuse écriture des 3 000 pages de À la recherche du temps perdu. Réalisé dans le cadre du 150e anniversaire de la naissance de l’écrivain, ce documentaire est digne de la curiosité de ses plus grands admirateurs.
Réalisation | Elisabeth Kapnist |
Auteur | Juliette Bot, Elisabeth Kapnist |
Montage | Philippe Baillon |
Caméra | Ludovic Simeon |
Interprètes | Chloe Rejon |
Musique | Olivier Depardon |
Réalisation
Elisabeth Kapnist
Elisabeth Kapnist est réalisatrice de documentaires depuis plus de trente ans. La réalisatrice est reconnue pour l’acuité de ses portraits.
La figure féminine est un de ses sujets privilégiés. Elle a notamment réalisé Karen Blixen, le songe d’une nuit africaine (2018), Carolyn Carlson, le regard du geste (2010) ou encore Isadora Duncan, je n’ai fait que danser ma vie (2008). La réalisatrice s’est déjà frottée à des portraits de grands créateurs, spécialement ceux de réalisateurs de cinéma avec Luchino Visconti, entre vérité et passion (2016) et Orson Welles, autopsie d’une légende (2015) qui a été sélectionné au Festival de Cannes « Cannes Classics » en 2015. Elisabeth possède aussi une prédilection pour la psychanalyse. Parmi ses réalisations, on retiendra La vie en vrac — portrait d’un hôpital psychiatrique de jour (2001), Jacques Lacan, la psychanalyse réinventée (2001), Un écran nommé désir – parallèle entre le cinéma et psychanalyse (2006) et enfin Sigmund Freud, l’invention de la psychanalyse (1997) un film en deux parties écrit avec Elisabeth Roudinesco.
La réalisatrice a aussi une prédilection pour la Russie : Les frères Morozov, collectionneurs et mécènes (2020). Elle a aussi réalisé Solovki, la bibliothèque disparue (2013) et Le Rêve de Pierre, Saint-Pétersbourg (2003). Elisabeth Kapnist est membre fondatrice des Ateliers Varan, centre de formation au cinéma documentaire.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
La figure féminine est un de ses sujets privilégiés. Elle a notamment réalisé Karen Blixen, le songe d’une nuit africaine (2018), Carolyn Carlson, le regard du geste (2010) ou encore Isadora Duncan, je n’ai fait que danser ma vie (2008). La réalisatrice s’est déjà frottée à des portraits de grands créateurs, spécialement ceux de réalisateurs de cinéma avec Luchino Visconti, entre vérité et passion (2016) et Orson Welles, autopsie d’une légende (2015) qui a été sélectionné au Festival de Cannes « Cannes Classics » en 2015. Elisabeth possède aussi une prédilection pour la psychanalyse. Parmi ses réalisations, on retiendra La vie en vrac — portrait d’un hôpital psychiatrique de jour (2001), Jacques Lacan, la psychanalyse réinventée (2001), Un écran nommé désir – parallèle entre le cinéma et psychanalyse (2006) et enfin Sigmund Freud, l’invention de la psychanalyse (1997) un film en deux parties écrit avec Elisabeth Roudinesco.
La réalisatrice a aussi une prédilection pour la Russie : Les frères Morozov, collectionneurs et mécènes (2020). Elle a aussi réalisé Solovki, la bibliothèque disparue (2013) et Le Rêve de Pierre, Saint-Pétersbourg (2003). Elisabeth Kapnist est membre fondatrice des Ateliers Varan, centre de formation au cinéma documentaire.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Les Frères Morozov mécènes et collectionneurs (2020)
Élysée, neuf femmes aux marches du Palais (2019)
Karen Blixen, le songe d’une nuit africaine (2018)
Luchino Visconti, entre vérité et passion (2016)
Orson Welles, autopsie d’une légende (2015)
Élysée, neuf femmes aux marches du Palais (2019)
Karen Blixen, le songe d’une nuit africaine (2018)
Luchino Visconti, entre vérité et passion (2016)
Orson Welles, autopsie d’une légende (2015)