L’artiste Gian Pedretti (*1924) dit que la poésie est un moyen de contrer le malheur et l’injustice. Depuis leur jeunesse, Gian et sa femme, l’écrivaine et artiste reconnue Erica Pedretti (*1930), se consacrent à l’art dans ce sens. Comment ont-ils pu maintenir l’équilibre entre la vie et l’art, en élevant ensemble cinq enfants et en vivant temporairement dans la pauvreté ?
Le film sur Erica et Gian Pedretti s’appuie sur la sensualité des travaux qu’ils réunissent pour leur probablement dernière exposition commune et reflète dans des images cinématographiques et des flashs-back l’inhabituel attachement persistant de ce couple. Tous deux sont plutôt économes en paroles à propos d’eux-mêmes et de leur art – il reste donc les observations cinématographiques des personnes et de leurs oeuvres, afin que les spectateurs puissent vivre la poésie et la beauté de ces modes particuliers de travail et de vie.
Dans ce voyage cinématographique, les deux artistes partagent leur monde avec nous par leur pensée et leur créativité, leur passé et leur quotidien. Avec leur sagesse, ils nous ouvrent les yeux sur la beauté et l’amour des gens comme eux, nous partageant ainsi leur héritage pour la postérité.
Le film sur Erica et Gian Pedretti s’appuie sur la sensualité des travaux qu’ils réunissent pour leur probablement dernière exposition commune et reflète dans des images cinématographiques et des flashs-back l’inhabituel attachement persistant de ce couple. Tous deux sont plutôt économes en paroles à propos d’eux-mêmes et de leur art – il reste donc les observations cinématographiques des personnes et de leurs oeuvres, afin que les spectateurs puissent vivre la poésie et la beauté de ces modes particuliers de travail et de vie.
Dans ce voyage cinématographique, les deux artistes partagent leur monde avec nous par leur pensée et leur créativité, leur passé et leur quotidien. Avec leur sagesse, ils nous ouvrent les yeux sur la beauté et l’amour des gens comme eux, nous partageant ainsi leur héritage pour la postérité.
Réalisation | Lucienne Lanaz |
Coauteur | Bärbel Dalichow |
Auteur | Lucienne Lanaz |
Dramaturge | Bärbel Dalichow |
Montage | Hans-Toni Aschwanden |
Caméra | Hans-Toni Aschwanden |
Voix | 1. Miriam / 2. Charlotte / 3. Dominik 1. Japp /2. Heinimann / 3. Zeltner |
Son | Nadja / Janosch Gubser / Röthlisberger |
Mixage | Rolf Büttikofer |
Création graphique | Mary Jo Fahrny |
Idéation | Vincenzo Baviera |
Vidéo | Sophie et Alain Laesslé |
Régie | René Graber |
Musique | Corin Curschellas |
Traduction | 1. Daniela / 2. Sylvie / 3. Geneviève / 4. Chasper 1. Cavadini / 2. Charmillot / 3. Clavel / 4. Pult |
Réalisation
Lucienne Lanaz
Lucienne Lanaz est née le 14 novembre 1937 à Zurich. Elle vit maintenant à Grandval dans le Jura bernois. Elle a des diplômes d’employée de commerce et de professeur d’éducation physique et a travaillé durant plusieurs années dans ces domaines. Dès 1972, elle accepte des mandats pour différents postes dans diverses sociétés de productions cinématographiques. Elle a réalisé et produit, depuis 1974, plus de 30 films documentaires. Elle a aussi été membre du jury dans plusieurs Festivals internationaux, été déléguée à la coordination européenne des festivals et a enseigné la lecture de films à la Haute École fribourgeoise de travail social. Elle a animé plusieurs ateliers, notamment dans des prisons.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
Les biographies ont été fournies par des tierces personnes.
L’ENFANCE RETROUVÉE – Les Petites Familles (2014) ; SUPER COW, La vache, die Kuh, fermer la porte, die Türe zu (2009) ; UNE MAISON PAS COMME LES AUTRES (2006) ; “DONA ANNA” (2003) ; DOULEUR ET RÉVOLTE (2003) ; …Nous déclinons toute responsabilité… (2002) ; LA LUPA, chanteuse suisse-italienne (1999) ; “SALVADOR” peintre muraliste à la Havane 1998 ; UNE BRECHE DANS LE BLOCUS (1997) ; TROIS GOUTTES POUR LE FUTUR, Trilogie (1996) ; CAUCHEMARS… DE DERRIERE LES BARREAUX (1995) ; “SETU LAULUEMA” (1992) ; LA DEMANDE EN VOYAGE (Mes amis en RDA) (1989÷1990) ; POUR UN SON DE CLOCHE, Fonderie de cloche à Aarau (1989) ; “QUEEN OF ELASTIC” contortioniste (1987) ; “J’AI UN DROIT SUR MON CORPS…” STERILISATION (1980) ; CINE JOURNAL AU FEMININ (1979÷1980) ; LA COMPOSITION (1978÷1979) ; LA FORGE (1978÷1979) ; FEU, FUMEE, SAUCISSES (1976) ; LE BONHEUR A SEPTANTE ANS (1974).