Bande-annonce
Ce documentaire intimiste suit le parcours du sculpteur André Desjardins qui entame la création d’une sculpture monumentale destinée à être installée sur les berges du lac Memphrémagog, lac qui a bercé son enfance et son adolescence. L’artiste nous ouvre la porte de son atelier, niché au cœur de la forêt. Seul, en silence, il sable, frotte, coupe et découpe. Les bruits de la nature se fondent à ceux des outils qu’il utilise. Les saisons passent. Lentement, libre, un personnage à genou de plus de huit pieds de haut naît sous nos yeux. Le long processus de création de cette œuvre monumentale est ponctué de moments où l’artiste se livre. Il replonge dans les souvenirs de son enfance marquée par le deuil, la solitude et un besoin inassouvissable de créer.
Réalisation | Hélène Bélanger-Martin |
Production | Luc Paquet |
Montage | Annie Deniel |
Prise de son | Guy Hamelin |
Colorisation | Tony Manolikakis |
Artiste | André Desjardins |
Son | Mélanie Gauthier |
Mixage | Daniel Toussaint |
Image | Guy Hamelin |
Musique | Nicolas Marquis |
Autre | Doris Lapierre, Assistante à la réalisation |
Réalisation
Hélène Bélanger-Martin
Galeriste et cinéaste, Hélène Bélanger-Martin nourrit une véritable fascination pour les ateliers d’artistes. Cet espace intime, souvent impénétrable, l’interpelle. Dans l’atelier, elle peut sentir le geste de l’artiste, le souffle, la matière, le coup de pinceau, le doute, la spontanéité, la recherche. C’est ce qu’elle tente de capter et de transmettre dans ses films. C’est aussi ce qu’elle offre en histoire aux visiteurs qui poussent la porte de sa galerie d’art.
Après avoir complété un baccalauréat en histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal, Hélène entreprend, en 2002, une formation en réalisation cinématographique à l’INIS. Une fois sortie de l’école, elle réalise quelques courts-métrages et son premier long-métrage La peau et les os, après, sorti en salle en 2008. En 2009, elle se lance un nouveau défi et ouvre sa galerie d’art, la galerie ROCCIA. D’abord située sur le boulevard St-Laurent, à Montréal, la galerie a maintenant pignon sur rue au coeur de la charmante ville de Magog.
Au fil des années, les deux différents chapeaux qu’elle porte, galeriste et cinéaste, finissent par être étroitement liés puisqu’elle réalise désormais uniquement des films sur l’art. Ses documentaires se veulent des fenêtres ouvertes sur l’intimité de la création. Que ce soit avec Visual Emotionism, Devenir, ou encore Nathalie Trépanier sculpteure d’objets oubliés, Hélène invite toujours le spectateur au cœur de l’atelier d’un artiste pour assister, souvent en silence, à la naissance d’une œuvre. Cette année, elle signe son 9è film, Libre, un documentaire qui suit le processus de création de la deuxième sculpture monumentale de son amoureux de longue date, le peintre et sculpteur André Desjardins.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Après avoir complété un baccalauréat en histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal, Hélène entreprend, en 2002, une formation en réalisation cinématographique à l’INIS. Une fois sortie de l’école, elle réalise quelques courts-métrages et son premier long-métrage La peau et les os, après, sorti en salle en 2008. En 2009, elle se lance un nouveau défi et ouvre sa galerie d’art, la galerie ROCCIA. D’abord située sur le boulevard St-Laurent, à Montréal, la galerie a maintenant pignon sur rue au coeur de la charmante ville de Magog.
Au fil des années, les deux différents chapeaux qu’elle porte, galeriste et cinéaste, finissent par être étroitement liés puisqu’elle réalise désormais uniquement des films sur l’art. Ses documentaires se veulent des fenêtres ouvertes sur l’intimité de la création. Que ce soit avec Visual Emotionism, Devenir, ou encore Nathalie Trépanier sculpteure d’objets oubliés, Hélène invite toujours le spectateur au cœur de l’atelier d’un artiste pour assister, souvent en silence, à la naissance d’une œuvre. Cette année, elle signe son 9è film, Libre, un documentaire qui suit le processus de création de la deuxième sculpture monumentale de son amoureux de longue date, le peintre et sculpteur André Desjardins.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Quelques films :
Nathalie Tréapnier, sculpteure d’objets oubliés (2012)
Devenir (2011)
Visual Emotionism (2010)
La peau et les os, après (2008)
Mardi matin quelque part (2004)
Nathalie Tréapnier, sculpteure d’objets oubliés (2012)
Devenir (2011)
Visual Emotionism (2010)
La peau et les os, après (2008)
Mardi matin quelque part (2004)