Focus Vivian Ostrovsky
Vivian Ostrovsky
Focus Vivian Ostrovsky
L’hommage à Vivian Ostrovsky brosse le parcours sur plus de 40 ans d’une cinéaste prolifique, reconnue pour sa pratique de courts métrages (super‑8, animation, films de famille, essais et portraits uniques de femmes artistes) et pour son art du montage et du collage. Fascinée par le mouvement, le vertige dans la création, la mobilité de la pensée et de l’identité, Vivian Ostrovsky crée des films sensibles et attachants, dans lesquels la notion d’entre-deux se renouvelle à chaque réalisation. Vivian Ostrovsky vit aux États-Unis.
Movie — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 1982. 9 min. Sans dialogue.
Paris direction Provence en passant par New York, Amsterdam, Rio et Jérusalem. Des lieux, des gens et des lumières surgis au hasard des parcours filmés de nuit accompagnés d’une trame sonore tout aussi éclectique.
M.M. in Motion — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 1992 (version restaurée en 2020). 35 min. Français. Sous-titres en anglais.
De 1988 à 1991, Vivian Ostrovsky a filmé Mathilde Monnier et sa compagnie lors de l’élaboration et la réalisation de six chorégraphies. Ce document fascinant a fait l’objet d’une restauration en 2020.
Première mondiale
Wherever was never There — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2011. 6 min. Anglais, portugais et russe. Sous-titres en français.
Dans ce film intimiste réalisé à l’occasion du trentième anniversaire de la mort de son père, Rehor Ostrovsky, Vivian Ostrovsky assemble des fragments de ses premiers films 8mm et Super8, de vieilles photos, des lettres et des extraits de films de sa famille en voyage et en vacances.
Première nord-américaine
DizzyMess — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2017. 7 min. Sans dialogue.
Le vertige est abordé ici en tant que catalyseur d’images étranges, inquiétantes, flottantes, allant de l’effet psychologique jusqu’au comique, à la recherche d’un lieu flottant, sans racines ni points d’ancrages.
Première canadienne
Hiatus — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2018. 6 min. Portugais et anglais. Sous-titres en français.
Introspective et solitaire, Clarice Lispector (1920−1977), écrivaine brésilienne d’origine ukrainienne, est le personnage de cette œuvre construite à partir d’une interview que la télévision n’a diffusée qu’après sa mort.
Unsound — Vivian Ostrovsky. 2019. 4 min. Sans son.
Comment rendre visibles les sons d’un film muet ? Peut-être par cet assemblage animé et bruyant d’images d’archives et d’images nouvelles qui jouent du présent et du passé pour faire du muet/sonore.
Première canadienne
SON CHANT — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2020. 12 min. Français. Sous-titres en anglais.
Retrouvant des images d’une soirée où Chantal Akerman, Sonia Wieder-Atherton et elle-même se quittent après avoir dîné ensemble dans une brasserie de Montparnasse, Vivian Ostrovsky décide de faire un film en hommage au travail du son chez Akerman et à sa collaboration avec la violoncelliste Sonia Wieder-Atherton.
Première mondiale
L’hommage à Vivian Ostrovsky brosse le parcours sur plus de 40 ans d’une cinéaste prolifique, reconnue pour sa pratique de courts métrages (super‑8, animation, films de famille, essais et portraits uniques de femmes artistes) et pour son art du montage et du collage. Fascinée par le mouvement, le vertige dans la création, la mobilité de la pensée et de l’identité, Vivian Ostrovsky crée des films sensibles et attachants, dans lesquels la notion d’entre-deux se renouvelle à chaque réalisation. Vivian Ostrovsky vit aux États-Unis.
Movie — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 1982. 9 min. Sans dialogue.
Paris direction Provence en passant par New York, Amsterdam, Rio et Jérusalem. Des lieux, des gens et des lumières surgis au hasard des parcours filmés de nuit accompagnés d’une trame sonore tout aussi éclectique.
M.M. in Motion — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 1992 (version restaurée en 2020). 35 min. Français. Sous-titres en anglais.
De 1988 à 1991, Vivian Ostrovsky a filmé Mathilde Monnier et sa compagnie lors de l’élaboration et la réalisation de six chorégraphies. Ce document fascinant a fait l’objet d’une restauration en 2020.
Première mondiale
Wherever was never There — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2011. 6 min. Anglais, portugais et russe. Sous-titres en français.
Dans ce film intimiste réalisé à l’occasion du trentième anniversaire de la mort de son père, Rehor Ostrovsky, Vivian Ostrovsky assemble des fragments de ses premiers films 8mm et Super8, de vieilles photos, des lettres et des extraits de films de sa famille en voyage et en vacances.
Première nord-américaine
DizzyMess — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2017. 7 min. Sans dialogue.
Le vertige est abordé ici en tant que catalyseur d’images étranges, inquiétantes, flottantes, allant de l’effet psychologique jusqu’au comique, à la recherche d’un lieu flottant, sans racines ni points d’ancrages.
Première canadienne
Hiatus — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2018. 6 min. Portugais et anglais. Sous-titres en français.
Introspective et solitaire, Clarice Lispector (1920−1977), écrivaine brésilienne d’origine ukrainienne, est le personnage de cette œuvre construite à partir d’une interview que la télévision n’a diffusée qu’après sa mort.
Unsound — Vivian Ostrovsky. 2019. 4 min. Sans son.
Comment rendre visibles les sons d’un film muet ? Peut-être par cet assemblage animé et bruyant d’images d’archives et d’images nouvelles qui jouent du présent et du passé pour faire du muet/sonore.
Première canadienne
SON CHANT — Vivian Ostrovsky. États-Unis. 2020. 12 min. Français. Sous-titres en anglais.
Retrouvant des images d’une soirée où Chantal Akerman, Sonia Wieder-Atherton et elle-même se quittent après avoir dîné ensemble dans une brasserie de Montparnasse, Vivian Ostrovsky décide de faire un film en hommage au travail du son chez Akerman et à sa collaboration avec la violoncelliste Sonia Wieder-Atherton.
Première mondiale
Réalisation | Vivian Ostrovsky |
Réalisation
Vivian Ostrovsky
Née à New York, aux États-Unis, Vivian Ostrovsky fait ses études secondaires à Rio de Janeiro, puis poursuit des études supérieures à Paris-Sorbonne, en psychologie ainsi qu’en cinéma. Elle commence alors son activité au sein de Ciné-Femmes, organisme de diffusion luttant pour le féminisme et sa visibilité. Devenant elle-même cinéaste en 1980, elle abandonnera le militantisme.
Associée au cinéma expérimental pour son approche de l’animation, du film-journal et de la notion de collage, Vivian Ostrovsky a, à ce jour, consacré plus de 40 ans à parcourir le monde, à embrasser d’un regard curieux et généreux, doublé d’un sens de l’humour taquin et ironique, le quotidien, la famille, le cinéma et l’histoire du cinéma. Elle vit actuellement aux États-Unis.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film.
Associée au cinéma expérimental pour son approche de l’animation, du film-journal et de la notion de collage, Vivian Ostrovsky a, à ce jour, consacré plus de 40 ans à parcourir le monde, à embrasser d’un regard curieux et généreux, doublé d’un sens de l’humour taquin et ironique, le quotidien, la famille, le cinéma et l’histoire du cinéma. Elle vit actuellement aux États-Unis.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film.