Ce film sera présenté lors de l’événement La Nuit du court le 22 mars 2025 à l’Université Concordia.
Une photographe et une réalisatrice se rencontrent et entament une marche commune, reliant deux lieux qui n’en forment plus qu’un. À travers cette errance poétique, Dox Dadje explore l’univers photographique d’Aïssatou Ciss, marqué par ses réflexions sur l’enfance, l’adolescence et ses rêves. Minimaliste mais profondément évocateur, le film tisse un dialogue entre la photographe et la réalisatrice, révélant leur lien artistique et humain.
En présence de la réalisatrice Éléonore Coyette le 22 mars à Montréal.
Une photographe et une réalisatrice se rencontrent et entament une marche commune, reliant deux lieux qui n’en forment plus qu’un. À travers cette errance poétique, Dox Dadje explore l’univers photographique d’Aïssatou Ciss, marqué par ses réflexions sur l’enfance, l’adolescence et ses rêves. Minimaliste mais profondément évocateur, le film tisse un dialogue entre la photographe et la réalisatrice, révélant leur lien artistique et humain.
En présence de la réalisatrice Éléonore Coyette le 22 mars à Montréal.
Autre festival :
St-Louis Docs, Mention Spéciale du jury International, Sénégal (2024)
St-Louis Docs, Mention Spéciale du jury International, Sénégal (2024)
| Réalisation | Eléonore Coyette |
| Montage | Eleonore Coyette |
| Artiste | Aïssatou Ciss |
| Son | Iannis Heaulme |
Séance
• Université Concordia - H110, Pavillon Henry F. Hall
Samedi 22 mars 2025, 19:00 — 22:26
Réalisation
Eleonore Coyette
Éléonore Coyette capture, dans ses films, l’indocile battement de coeur du monde. Sa grammaire visuelle est celle d’une poétesse.
Ses réalisations, oniriques et organiques, nous connectent à des êtres puissants et à l’âme des espaces qu’elle traverse. L’artiste nous invite à prendre de la hauteur pour mieux saisir la profondeur des êtres, à nous hisser sur les toits pour recouvrer la beauté des villes. Dans cet oeil-là, la lenteur et l’élégance sont magnifiées avec une justesse rare.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film et éditées par Le FIFA
Ses réalisations, oniriques et organiques, nous connectent à des êtres puissants et à l’âme des espaces qu’elle traverse. L’artiste nous invite à prendre de la hauteur pour mieux saisir la profondeur des êtres, à nous hisser sur les toits pour recouvrer la beauté des villes. Dans cet oeil-là, la lenteur et l’élégance sont magnifiées avec une justesse rare.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film et éditées par Le FIFA
Twa Fèy (2021)
407 JOU (2020)
Danser jusqu’à saigner le ciel (2019)
Ecorchées Vivantes (2018)
407 JOU (2020)
Danser jusqu’à saigner le ciel (2019)
Ecorchées Vivantes (2018)
Aïssatou Ciss
Née au Sénégal, en 1993, Aïssatou Ciss est une éminente photographe qui vit et travaille entre l’ile Gorée et Dakar. Elle a une formation en droit et elle se fait la main sur les plateaux de tournage de cinéma. Les thématiques de l’identité, la transmission et l’archivage de mémoire sont centrales dans son travail. Sa première série photographique questionne les différentes étapes de son enfance. Elle aime capturer sa terre natale, n’hésite pas à inviter le spectateur à ralentir par l’observation des instants de vie. Elle découvre la photographie d’art par les Rencontres Internationales d’Art Contemporain organisées par Les Ateliers Sahm, à Brazzaville.
Elle a participé à plusieurs expositions internationales, en Grèce, en Italie, en Côte d’ivoire, au Cameroun, au Sénégal, en Belgique et à Paris. Admise dans le programme “Trame” à la Cité Internationale des Arts, elle travaille en ce moment sur les choix de l’exil. Ses choix d’expérimentation se tournent principalement vers les africain-e‑s de toute l’Afrique confondue. Dans ce cadre, elle rencontrera diverses nationalités : camerounais, tunisiens, béninois… portant en eux la dure réalité d’un exil parfois volontaire et involontaire.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film et éditées par Le FIFA
Elle a participé à plusieurs expositions internationales, en Grèce, en Italie, en Côte d’ivoire, au Cameroun, au Sénégal, en Belgique et à Paris. Admise dans le programme “Trame” à la Cité Internationale des Arts, elle travaille en ce moment sur les choix de l’exil. Ses choix d’expérimentation se tournent principalement vers les africain-e‑s de toute l’Afrique confondue. Dans ce cadre, elle rencontrera diverses nationalités : camerounais, tunisiens, béninois… portant en eux la dure réalité d’un exil parfois volontaire et involontaire.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film et éditées par Le FIFA
Dans la même séance
