Bande-annonce
Première mondiale pour la version web
Grande Polyphonie est un hydropoème en sept séquences. Christian Calon décrit ainsi le matériau de son film : « L’eau, dans la nature, est le seul élément que l’on trouve sous les trois états physiques de la matière : liquide, solide, gazeux. Contrairement aux définitions, elle a une couleur. Liquide, elle tend à une immobilité que les éléments lui refusent. Solide, elle est plus légère qu’elle-même. Gazeuse, elle nous révèle les mouvements de l’air et du vent qui la transportent. Dans tous ses états, elle est lumineuse et sonore. » Fruit du regard et de l’écoute d’un compositeur de musique électroacoustique chevronné, cette oeuvre résulte d’une recherche effectuée sur plusieurs années, dans une vaste région située au-delà du 45e parallèle et pour laquelle les sons et les images ont été captés, puis traités et composés en interrelation spectrale, harmonique, rythmique et spatiale. Nous découvrons une musique pour l’oeil ; un cinéma pour l’oreille.
Version web : Spatialisation sonore immersive encodée en binaural pour une écoute optimale sur casque. Non recommandé pour l’écoute sur hauts-parleurs.
Ce film fait partie du programme L’OEIL ÉCOUTE de la section FIFA EXPÉRIMENTAL.
Grande Polyphonie est un hydropoème en sept séquences. Christian Calon décrit ainsi le matériau de son film : « L’eau, dans la nature, est le seul élément que l’on trouve sous les trois états physiques de la matière : liquide, solide, gazeux. Contrairement aux définitions, elle a une couleur. Liquide, elle tend à une immobilité que les éléments lui refusent. Solide, elle est plus légère qu’elle-même. Gazeuse, elle nous révèle les mouvements de l’air et du vent qui la transportent. Dans tous ses états, elle est lumineuse et sonore. » Fruit du regard et de l’écoute d’un compositeur de musique électroacoustique chevronné, cette oeuvre résulte d’une recherche effectuée sur plusieurs années, dans une vaste région située au-delà du 45e parallèle et pour laquelle les sons et les images ont été captés, puis traités et composés en interrelation spectrale, harmonique, rythmique et spatiale. Nous découvrons une musique pour l’oeil ; un cinéma pour l’oreille.
Version web : Spatialisation sonore immersive encodée en binaural pour une écoute optimale sur casque. Non recommandé pour l’écoute sur hauts-parleurs.
Ce film fait partie du programme L’OEIL ÉCOUTE de la section FIFA EXPÉRIMENTAL.
| Réalisation | Christian Calon |
| Production | Christian Calon |
| Prise de son | Olivier Renouf |
En partenariat avec
Image tirée du film Grande Polyphonie // Image from the film Grande Polyphonie
Image tirée du film Grande Polyphonie // Image from the film Grande Polyphonie
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Image tirée du film Grande Polyphonie // Image from the film Grande Polyphonie
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Réalisation
Christian Calon
Ses oeuvres ont représenté le Canada et l’Allemagne et fréquemment lauréates de compétitions internationales. Dès ses premières oeuvres, largement diffusées, les différentes facettes de son travail reçoivent un accueil enthousiaste du public et de la critique.
Ses projets explorent le temps et la spatialité sous plusieurs formes : oeuvres radiophoniques, acousmatiques et improvisation sonore. Reprenant le fil de l’image depuis 2009, ses projets s’orientent vers une forme d’audiovision basée sur la composition simultanée de l’image et du son. Dans tout son travail, les modèles du réel occupent une place centrale. Ce sont les moyens de captation de la lumière et du son qui cristallisent sa curiosité pour le potentiel expressif des images immatérielles. La fréquentation d’oeuvres marquantes puis la rencontre d’artistes majeurs favorisent la voie du sonore et il passe des expérimentations de la chambre noire à celles de la chambre sourde. L’exploration des modalités de l’écoute et de la spatialité devient alors le fil conducteur de l’ensemble de son travail.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
Ses projets explorent le temps et la spatialité sous plusieurs formes : oeuvres radiophoniques, acousmatiques et improvisation sonore. Reprenant le fil de l’image depuis 2009, ses projets s’orientent vers une forme d’audiovision basée sur la composition simultanée de l’image et du son. Dans tout son travail, les modèles du réel occupent une place centrale. Ce sont les moyens de captation de la lumière et du son qui cristallisent sa curiosité pour le potentiel expressif des images immatérielles. La fréquentation d’oeuvres marquantes puis la rencontre d’artistes majeurs favorisent la voie du sonore et il passe des expérimentations de la chambre noire à celles de la chambre sourde. L’exploration des modalités de l’écoute et de la spatialité devient alors le fil conducteur de l’ensemble de son travail.
Notes biographiques fournies par l’équipe du film
La grandeur des choses (2017)
Continental Divide (2014)
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