After spending 15 years in artistic and academic explorations at different American schools and universities, painter and ceramicist Jean-Pierre Larocque returned to Montreal at the turn of the 2000s. In this portrait film, Larocque opens his studio to viewers. Using charcoal “reluctantly” and grinding away slate like so many layers of skin, he is a creator of unfathomable sensitivity who shapes intriguing, enchanting works that play on time and eras while reminding us of our own human ghosts.
Also presented:
37th International Festival of Films on Art, Canada (2019)
37th International Festival of Films on Art, Canada (2019)
Director | Bruno Boulianne |
Director of Photography | Alex Margineanu |
Editing | Alexis Dumais, Vincent Guignard |
Sound Recording | Stéphane Barsalou, Marco Fania, Mélanie Gauthier |
Production
Bruno Boulianne
Available in French only
Formé en architecture et en cinéma, Bruno Boulianne remporte le Prix du meilleur espoir aux Rendez-vous du cinéma québécois en 1994, avec le film Un cirque sur le fleuve. Intéressé par la relation entre l’humain et son territoire, il a signé plus d’une vingtaine de réalisations en documentaires unitaires qui ont remporté plusieurs distinctions. Son long métrage Bull’s Eye, un peintre à l’affût, remporte le Prix tremplin pour le monde ARTV, au Festival international du film sur l’art de Montréal 2010. Le chant de la brousse se mérite le Prix du meilleur film canadien au Festival Vues d’Afrique 2012. Tourné avec l’auteur-compositeur-interprète Damien Robitaille, Un rêve américain connait en 2014 un succès critique et public. En 2018, Bruno Boulianne lance Claude n’est pas mort – récipiendaire de deux Prix Gémeaux – et le documentaire L’homme de l’Isle. En 2019, il enchaîne avec le portrait Jean-Pierre Larocque, le fusain et l’argile et L’art de la chasse : Chantal Harvey, tiré d’une série documentaire traitant d’art et d’environnement. Depuis, il poursuit une fructueuse collaboration avec le Centre d’art international 1700 La Poste où ses deux plus récents films documentaires ont été produits : Julie Ouellet, les chemins éphémères et Raymonde April : Traversée(s).
Biographical notes provided by the film production team
Formé en architecture et en cinéma, Bruno Boulianne remporte le Prix du meilleur espoir aux Rendez-vous du cinéma québécois en 1994, avec le film Un cirque sur le fleuve. Intéressé par la relation entre l’humain et son territoire, il a signé plus d’une vingtaine de réalisations en documentaires unitaires qui ont remporté plusieurs distinctions. Son long métrage Bull’s Eye, un peintre à l’affût, remporte le Prix tremplin pour le monde ARTV, au Festival international du film sur l’art de Montréal 2010. Le chant de la brousse se mérite le Prix du meilleur film canadien au Festival Vues d’Afrique 2012. Tourné avec l’auteur-compositeur-interprète Damien Robitaille, Un rêve américain connait en 2014 un succès critique et public. En 2018, Bruno Boulianne lance Claude n’est pas mort – récipiendaire de deux Prix Gémeaux – et le documentaire L’homme de l’Isle. En 2019, il enchaîne avec le portrait Jean-Pierre Larocque, le fusain et l’argile et L’art de la chasse : Chantal Harvey, tiré d’une série documentaire traitant d’art et d’environnement. Depuis, il poursuit une fructueuse collaboration avec le Centre d’art international 1700 La Poste où ses deux plus récents films documentaires ont été produits : Julie Ouellet, les chemins éphémères et Raymonde April : Traversée(s).
Biographical notes provided by the film production team