Trailer
This film is part of the program Forêts : Carte blanche au Studio Le Fresnoy et à la Galerie de l’UQAM.
Earth is a magical dust that protects memory and preserves the buried traces and fragments. It is the place where we set our feet to elevate our bodies and where the transformation of memories into wealth occurs, layer by layer. Extracting the riches of the earth is nothing but erasing its memories. Interior da terra is like an exploration from the sky to the depths of the forest. It is a journey that leads to the crossing of strata towards the interior of the ground. It demonstrates the profound political issues in a historical and current narrative about the destruction of the Amazon rainforest and its indigenous people.
Earth is a magical dust that protects memory and preserves the buried traces and fragments. It is the place where we set our feet to elevate our bodies and where the transformation of memories into wealth occurs, layer by layer. Extracting the riches of the earth is nothing but erasing its memories. Interior da terra is like an exploration from the sky to the depths of the forest. It is a journey that leads to the crossing of strata towards the interior of the ground. It demonstrates the profound political issues in a historical and current narrative about the destruction of the Amazon rainforest and its indigenous people.
Director | Bianca Dacosta |
Session
• Université Concordia - J.A. de Sève, LB-125, Pavillon J. W. McConnell
Saturday, march 16, 2024, 02:30 p.m. — 04:15 p.m.
Production
Bianca Dacosta
Available in French only
Originaire de Rio de Janeiro (Brésil), Bianca Dacosta explore les notions de mémoire et de ressources naturelles dans une logique politique, postcoloniale et anti-extractiviste. Ses méthodes s’inscrivent dans les logiques de la cartographie subjective et reposent sur la recherche des traces de la mémoire du territoire, dont elle tire des outils pour d’autres perceptions, d’autres récits de l’espace, du corps et de la nature. Plus largement, la perspective d’un effondrement de la civilisation se traduit dans son travail par des tentatives de réconciliation avec la nature. Cette recherche se matérialise par des multiples dispositifs dans lesquels se mêlent performance, photographie, film, sculpture et installation. Après un premier diplôme à l’université fédérale de l’État de Rio de Janeiro (UNIRIO) et à l’École d’arts visuels du Parque Lage, Bianca Dacosta obtient son master de l’ENSAD, à Paris. Elle a également suivi le cursus du Fresnoy — Studio national des arts contemporains. En 2020, elle est accueillie en résidence à la Villa Arson. Son travail a été présenté à la Quadriennal of Performance Design and Space à Prague, à l’UNESCO, à l’Espace Krajcberg, au CENTQUATRE-PARIS et au Carreau du Temple à Paris, et aux Grandes Serres à Pantin.
Biographical notes provided by the film production team
Originaire de Rio de Janeiro (Brésil), Bianca Dacosta explore les notions de mémoire et de ressources naturelles dans une logique politique, postcoloniale et anti-extractiviste. Ses méthodes s’inscrivent dans les logiques de la cartographie subjective et reposent sur la recherche des traces de la mémoire du territoire, dont elle tire des outils pour d’autres perceptions, d’autres récits de l’espace, du corps et de la nature. Plus largement, la perspective d’un effondrement de la civilisation se traduit dans son travail par des tentatives de réconciliation avec la nature. Cette recherche se matérialise par des multiples dispositifs dans lesquels se mêlent performance, photographie, film, sculpture et installation. Après un premier diplôme à l’université fédérale de l’État de Rio de Janeiro (UNIRIO) et à l’École d’arts visuels du Parque Lage, Bianca Dacosta obtient son master de l’ENSAD, à Paris. Elle a également suivi le cursus du Fresnoy — Studio national des arts contemporains. En 2020, elle est accueillie en résidence à la Villa Arson. Son travail a été présenté à la Quadriennal of Performance Design and Space à Prague, à l’UNESCO, à l’Espace Krajcberg, au CENTQUATRE-PARIS et au Carreau du Temple à Paris, et aux Grandes Serres à Pantin.
Biographical notes provided by the film production team