This film is part of the program Forêts : Carte blanche au Studio Le Fresnoy et à la Galerie de l’UQAM.
In Alerce, Enrique Ramírez orchestrates a poetic and vertical journey through the majestic geography of South America. Through this video, he invites us to a contemplative immersion at the heart of the Alerce Costero National Park, in the Los Ríos region of southern Chile, where the continent’s oldest tree stands, aged over 5,400 years. The camera, sliding along the ancient veins of the Alerce, guides us from the ground to the canopy, in an ascent that symbolizes the representation of time. The soundtrack, a true echo of the forest, envelops us in the living atmosphere of this natural sanctuary, concluding on a note that celebrates the deep and magnetic connection with the living world.
In Alerce, Enrique Ramírez orchestrates a poetic and vertical journey through the majestic geography of South America. Through this video, he invites us to a contemplative immersion at the heart of the Alerce Costero National Park, in the Los Ríos region of southern Chile, where the continent’s oldest tree stands, aged over 5,400 years. The camera, sliding along the ancient veins of the Alerce, guides us from the ground to the canopy, in an ascent that symbolizes the representation of time. The soundtrack, a true echo of the forest, envelops us in the living atmosphere of this natural sanctuary, concluding on a note that celebrates the deep and magnetic connection with the living world.
Director | Enrique Ramirez |
Camera | Lilly Dulay |
Session
• Université Concordia - J.A. de Sève, LB-125, Pavillon J. W. McConnell
Saturday, march 16, 2024, 02:30 p.m. — 04:15 p.m.
Production
Enrique Ramirez
Available in French only
Enriquez Ramirez, né en 1979 à Santiago au Chili, a étudié la musique populaire et le cinéma avant de rejoindre Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains. Lauréat du prix découverte des Amis du Palais de Tokyo à Paris en 2013, il a depuis exposé en France au Palais de Tokyo, au Centre Pompidou, au Musée national de l’histoire et de l’immigration de Paris, et à l’École Nationale Supérieure de la photographie d’Arles. En Amérique Latine et Centrale, ses œuvres ont été présentées au Museo Amparo à Puebla, au Museo de la memoria à Santiago, et au Parque de la Memoria à Buenos Aires.
Invité à la 57e édition de la Biennale de Venise en 2017, sous le commissariat de Christine Macel, Enriquez Ramirez œuvre à l’intersection de la vidéo, de la photographie, de la sculpture et de la poésie. Son travail explore les histoires imbriquées, les fictions transcendant les frontières temporelles et géographiques, et les mirages entre rêve et réalité. Utilisant fréquemment l’image et le son, il construit des intrigues foisonnantes qui naviguent entre le poétique et le politique.
Les mondes imaginaires d’Enriquez Ramirez sont ancrés dans une obsession : la mer, espace de mémoire en perpétuel mouvement, lieu de projections narratives où le destin du Chili croise les récits de voyage, de conquête, et de flux migratoires. Ses images liquides évoquent l’éclat d’une vérité fuyante, le ressac de l’Histoire répétant perpétuellement sans être identique. La traversée demeure un thème central de son œuvre.
Biographical notes provided by the film production team
Enriquez Ramirez, né en 1979 à Santiago au Chili, a étudié la musique populaire et le cinéma avant de rejoindre Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains. Lauréat du prix découverte des Amis du Palais de Tokyo à Paris en 2013, il a depuis exposé en France au Palais de Tokyo, au Centre Pompidou, au Musée national de l’histoire et de l’immigration de Paris, et à l’École Nationale Supérieure de la photographie d’Arles. En Amérique Latine et Centrale, ses œuvres ont été présentées au Museo Amparo à Puebla, au Museo de la memoria à Santiago, et au Parque de la Memoria à Buenos Aires.
Invité à la 57e édition de la Biennale de Venise en 2017, sous le commissariat de Christine Macel, Enriquez Ramirez œuvre à l’intersection de la vidéo, de la photographie, de la sculpture et de la poésie. Son travail explore les histoires imbriquées, les fictions transcendant les frontières temporelles et géographiques, et les mirages entre rêve et réalité. Utilisant fréquemment l’image et le son, il construit des intrigues foisonnantes qui naviguent entre le poétique et le politique.
Les mondes imaginaires d’Enriquez Ramirez sont ancrés dans une obsession : la mer, espace de mémoire en perpétuel mouvement, lieu de projections narratives où le destin du Chili croise les récits de voyage, de conquête, et de flux migratoires. Ses images liquides évoquent l’éclat d’une vérité fuyante, le ressac de l’Histoire répétant perpétuellement sans être identique. La traversée demeure un thème central de son œuvre.
Biographical notes provided by the film production team